poème

                                                          la vrai ruine

 Quand j’ étais jeune, je croyais que les génies et les fées

 s ‘étaient dérangés pour me guider et qu’ elle que fût l’ injure qu’ on m’ adressât,

 je croyais qu’ on soufflait aux autres des mots qui n’ avaient en but que mon bien et le mien seul.

 La réalité et le désastre qui m’ ont fait chanteur sur cette place

 m’ apprennent que j’ ai toujours été abandonné des dieux

 . ô genies, ô fées! rendez – moi aujourd’hui mon illusion….

                                                     … Max jacob……


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Un commentaire pour poème

  1. S. dit :

    Rebonjour,Je viens à l\’instant de retourner sur ton site de travail.J\’ai regardé plus attentivement tes oeuvres… ça donne à réfléchir.Surtout, je trouve que même dans la mise en forme du site il se dégage… quelque chose, je ne sais pas comment le qualifier… une sorte de mélancolie (la musique de fond c\’est quoi d\’ailleurs) couplée à une certaine créativité… ça se ressent aussi dans les oeuvres d\’ailleurs.Triste et beau à la fois…Steph

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